[CAMPAGNE] L’éclat des lames et l’ombre des intrigues

[Karasu]

- « Toutefois, si vous voulez mon avis, vous devriez sûrement vous inquiéter du cortège qui vient de faire son apparition. Les serpents se déplacent rarement en meute et je connais peu de mondaines voyageant sans escorte, époux ou enfants. Je connais néanmoins un Ordre qui n'a pas pour habitude de parader hors des coulisses. »

Il prend une inspiration lourde d'inquiétude.

-" L'avantage de ma sphère professionnelle sur la vôtre, c'est que ce genre de scorpion y met rarement les pattes. Et pour ce qui est de la sphère privée, je n'ai aucune chance de faire l'objet d'une tractation politique et de devoir marcher dans les chemins d'une épouse ou d'une concubine de cet ordre. Je vous laisse joyeusement ce privilège ".

Le passage de la petite cohorte semble presque l'avoir laissé de marbre même s'il a, comme tout le monde, laissé quelques instants son regard s'attarder sur quelques détails rebondis juste comme il faut.

-" Je ne sais pas pourquoi elles sont là mais je doute que ce soit une colonne d'assaut, ce serait un peu voyant. Mais quelle que soit la suite, si la situation s'emballe, elle va clairement devenir beaucoup plus compliquée pour tout le monde ".

Lorsque soudain l'éclairage de la grande salle s’adoucit progressivement, Soren fait une moue contrariée qui vire à la moue clairement agacée quand le feu d'artifice commence.

-" C'est bien le moment de faire tout ce cirque ... Il ne manquerait plus que de la fumée et on aurait carton plein pour nous gâcher les chances d'assurer la sécurité de cet endroit ... ".

Il pose sa main sur son oreillette pour ne pas rater une éventuelle communication du fait du bruit.

[Comète]

Keith échappe un simple rire à la première remarque de Soren. Il dénote peut-être un peu d'amusement et de nervosité face à ce constat des plus simples et rationnels.

« Trop aimable. Et quel privilège me suis-je vu confier... »

Le scientifique jette un œil autour de lui.

« Compliquée ? Vous voulez plutôt dire impossible. »

Lorsque les prémices du feu d'artifice font leur apparition, le docteur Carlyle porte son regard en direction de la grand-salle.

« Quelle est la suite, Adjoint Gunnar ? »

[[LOUPS] Maître du Jeu]

Éloigné de la baie vitrée, il se poste ainsi près de l'abondance nourricière du buffet, son veston tâché de sang convenablement replié couvrant son avant-bras droit, la posture digne mais néanmoins plus nonchalante tandis qu'il se fige dans l'expectative de pouvoir attirer l'attention de cette murène.

L’œil rond sous sa paupière écarquillée vibrant d'une expression passablement abasourdie, la jeune Musicienne coule alors un regard incrédule vers la silhouette de Dearbhail... Dont l'attitude grave, la mine sombre, se farde néanmoins de la même méfiance palpable. Alors à quoi jouait son imprudent compagnon ?

La Bene Gesserit, d’une beauté énigmatique et sculpturale, incarne à la perfection la grâce et l’assurance de son ordre. Sa peau de bronze, lisse et délicatement poudrée, contraste magnifiquement avec sa chevelure noire, savamment tressée et relevée en un chignon impeccable. Ses yeux en amande, d’un brun presque noir, sont cerclés de khôl, accentuant leur éclat mystérieux. Un sari d’un bleu profond, orné de broderies dorées, épouse ses courbes tout en dégageant une impression de pouvoir et de maîtrise. Ses mouvements sont mesurés, élégants, chaque geste porteur d’une intention calculée.

Lorsque Zak'm s’approche, attirant son regard en s’efforçant de capter son attention, elle ne bouge pas immédiatement. Le jeu subtil de son visage ne trahit aucune émotion, son expression demeure sereine, comme une statue immobile au milieu du chaos d’un monde en pleine effervescence. Pourtant, ses yeux se fixent brièvement sur lui, l’analysant en un instant, comme une panthère observant un intrus dans son territoire. Sa bouche, ornée d’un fin trait de rouge, s’étire en un sourire à peine perceptible, presque imperceptible pour un observateur distrait, mais lourd de sous-entendus pour celui qui sait lire entre les lignes.

Elle incline légèrement la tête, accordant à Zak'm un regard aussi glacé qu'envoûtant, une œillade brève mais suffisamment intense pour le faire se figer un instant. Sans prononcer un mot, elle le jauge, son regard le pénétrant comme si elle sondait ses pensées, ses intentions.

Puis, d’un geste lent et fluide, elle détourne son attention, comme si l’intérêt qu’il avait éveillé en elle s’était évanoui aussi rapidement qu’il était apparu. Sans hâte, elle retourne à la contemplation du feu d'artifices.

[[LOUPS] Maître du Jeu]

Alors que son oncle allait répondre, les nouvelles "invitées" de dernière minute firent leur apparition dans la grande salle. Athis les regarda, bouche bée.
— Oh... c'est pas bon ça... pas vrai mon oncle ?
Elle arrondit encore un peu plus ses yeux et ajouta... Pas étonnant qu'elles aient passé la sécurité sans problème...
Elle en était encore à envisager mille choses quand son visage s'éclaira de mille teintes colorées, au diapason d'un grand feu d'artifice naissant.

Eirene, élégante et toujours maîtresse de ses émotions, se glisse discrètement aux côtés d'Osian et d'Athis alors que le feu d'artifice illumine la salle de ses éclats multicolores. Elle lève brièvement les yeux vers les fusées lumineuses éclatant dans le ciel avant de poser son regard, plus attentif, sur les nouvelles invitées.

« Magnifique, n’est-ce pas ? » murmure-t-elle avec un léger sourire, feignant d’être absorbée par le spectacle. Mais très vite, son ton devient plus sérieux et presque imperceptible aux oreilles indiscrètes.

« La Révérende Mère Beatra était informée de l’arrivée de ces femmes, mais elle a été... disons, surprise. » Eirene laisse un court silence s'installer, accentuant la tension. « Elles sont bien des Sœurs, c'est indéniable, mais elles ne se présentent sous le tutélaire d’aucune Révérende Mère. »

Son regard croise celui d’Osian et Athis, cherchant à évaluer leur réaction avant de continuer.

« Nous ne savons pas ce qu’elles viennent faire à cette réception, mais elles semblent ... répérer certaines choses. » conclut-elle, tout en gardant un sourire de circonstance pour les invités qui pourraient l’observer.

[[LOUPS] Maître du Jeu]

Ces femmes étaient d’une beauté et d’une prestance irréelle, elle en resta bouche bée, et manifestement elle n’était pas la seule dans ce cas. Si un filet de bave coulait de la bouche de la plupart des hommes présents devant cette perfection, les femmes ne firent pas exception, contemplant le groupe avec un mélange de fascination et de jalousie.
Son entrainement lui permit de reprendre ses esprits plus vite que la plupart des convives. Elle observa et écouta les réactions des invités, que ce fussent des paroles, des gestes ou des expressions, y compris les signes discrets échangés entre eux, attentive.

Nedylène observe les invités avec l'attention aiguisée que lui offre son entraînement. Alors que l’arrivée spectaculaire des nouvelles invitées attire tous les regards, elle remarque que l'éblouissement généralisé n'est pas partagé par tout le monde.

Les D'Auria, pour commencer, regardent tout ce faste avec un profond dégoût. Leurs visages renfrognés ne laissent aucun doute sur leur désapprobation, et ils ne tentent même pas de cacher à quel point ils trouvent cette célébration déplacée. Leur mépris suinte dans chaque regard qu'ils jettent à la foule scintillante, loin de la fascination générale.

De leur côté, plusieurs artistes présents semblent eux, plongés dans une tout autre contemplation. Sculpteurs et peintres, tous absorbés par l’observation minutieuse des six mystérieuses femmes, cherchent visiblement à capturer chaque courbe et détail de leur silhouette, sans doute pour les reproduire plus tard dans leurs œuvres. Leur regard est presque calculateur, transperçant la beauté irréelle des arrivantes pour en saisir l'essence.

Les Almera, quant à eux, forment un tableau contrasté. Spilly, toujours sur le point de fondre en larmes, semble à peine consciente de ce qui se passe autour d’elle, tandis que Bruhilda, imperturbable, fixe avec une intensité troublante les nouvelles arrivantes, comme si elle cherchait à lire quelque chose de plus profond en elles.

Non loin, une femme vêtue d’une robe mauve mal ajustée préfère admirer la sculpture de glace, ignorant totalement le feu d'artifice extérieur. Elle ajuste maladroitement son maquillage, comme si elle ne se rendait pas compte qu’il est déjà de trop. À ses côtés, une autre femme aux ongles grotesquement longs souffle doucement dessus, se comportant comme si elle venait juste de poser son vernis, toute concentrée sur elle-même.

Un homme aux cheveux lisses et soigneusement peignés est absorbé dans son propre reflet, rajustant sans cesse des piques à cheveux pour parfaire sa coiffure, apparemment plus intéressé par sa propre apparence que par le spectacle ou les invitées.

Enfin, un dernier homme se dirige vers les Nyrion, la main croulant sous tant de bagues que l’on se demande comment il parvient à la lever. Son pas est lent mais assuré, prêt à leur présenter ses hommages avec une exagération qui frôle le ridicule.

[Yiajmhat]

Elle incline légèrement la tête, accordant à Zak'm un regard aussi glacé qu'envoûtant, une œillade brève mais suffisamment intense pour le faire se figer un instant. Sans prononcer un mot, elle le jauge, son regard le pénétrant comme si elle sondait ses pensées, ses intentions.

Puis, d’un geste lent et fluide, elle détourne son attention, comme si l’intérêt qu’il avait éveillé en elle s’était évanoui aussi rapidement qu’il était apparu. Sans hâte, elle retourne à la contemplation du feu d'artifices.

Sous l'épaisseur de sa chemise couleur nuit immaculée des traces de l'affrontement, sa peau cuivrée se grêle de picots pourléchant sa nuque et son échine raidie. Le sentiment électrisant fustige ses nerfs d'acier jusqu'à l'extrémité de ses doigts émus d'un spasme que Zak'm ne contrôle qu'en fermant un poing clos. Une goutte algide frigorifie ses vertèbres contrites tandis qu'il se fait le réceptacle de l'œillade perçante de la sirène qu'il ferre. Son intention n'est pas maligne le moins du monde, n'ayant jamais émis l'espoir de leur porter préjudice pas plus qu'il n'y aspirait. Toutefois, dans ce livre aux feuillets volages que la sœur au sari cobalt parcourt avec une rare transparence, un chapitre entier se consacre à l'étendue de la curiosité de l'étranger. La raison de leur visite l'indiffère relativement, après tout, le réfugié n'avait pas grand intérêt à se mêler des affaires politiques dont il ne connaissait ni les tenants ni les aboutissants. Bien entendu, le message convoyé se voulait avant tout charnel, et pourtant dépourvu de malice à leur égard, qu'avait-elle à extraire de son esprit finalement outre des secrets dont lui-même n'aurait pas conscience ? C'est un intérêt personnel qu'il lui voue, ignorant effrontément ses consœurs dont l'apparence n'a su toucher l'une de ses cordes sensibles. Sinon l'écaille bien plus brune de cette nymphe, ce binôme lié par le fil invisible de leur intérêt mutuel avait de nombreuses similarités que le maître d'armes n'avait pas le loisir de retrouver dans l'assemblée aux carnations plus extrêmes de part et d'autre. Un narcissisme qu'il était peut-être le seul à lire ainsi et fait imperceptiblement pencher son chef de côté.

L'apothéose de la soirée éclata depuis la barge où les artificiers se préoccupaient de finaliser leur spectacle ; une première explosion se heurta à la baie vitrée et rompit le charme de leur si bref échange duquel le joyau convoité se détourna. Les épaules rehaussées par la rupture subite de cet entrelacs accentuent leur tension, conséquence d'un choc sonore qui lui déplaît notoirement. Les mâchoires serrées, Zak'm se satisfait de s'être éloigné de la baie vitrée, de rater peut-être quelques sortilèges pyrotechniques au profit de se sentir plus en sécurité en fond de salle. Ses sourcils froncés du poids des souvenirs se font l'auvent d'un œil déstabilisé cherchant son ancre en la silhouette de sa partenaire dont il s'est éloigné, mais qui ne parvient qu'à accrocher les récifs blafards du regard de la Musicienne sur le point déjà de contempler le festival. Qu'avait-elle perçu de son intention, qu'avait-elle lu, elle, de ce tacite monologue ? Un moment figé dans l'observation passive de cette si singulière silhouette, il en oublie le serviteur revenu lui faire l'offrande d'une boisson sobre de toute goutte d'alcool. Sollicité de nouveau, Zak'm secoue le chef en un sursaut de lucidité et pince entre ses doigts les remparts cristallins du récipient balloté d'un typhon d'ambre pâle. L'employé de maison peut ainsi retourner à son service et le réfugié aux promesses silencieuses qu'il susurre discrètement à la cambrure de cette impitoyable créature lui tournant le dos.

Le sablier égrène ses secondes à mesure que les détonations gouachent les murs clairs de leurs éclats colorifères qu'il ne lorgne qu'en périphérie de son attention.

[Dahey]

Mené de nouveau au seuil de la terrasse surplombant les jardins arrières, le jeune caporal se laisse surprendre par les éclats cadencés des tirs de mortier d'artifice. Instantanément les mains aux phalanges contractées se portent aux oreilles harcelées par ce qui ne devrait être qu'un divertissement. Les yeux exorbités, révélant l'angoisse qui semble s'emparer de lui, ne peuvent le détourner des flashs colorés. La crise que le docteur Osian et le mentat Acan Maes avaient su lui apprendre à maitriser en de nombreuses circonstances, la crise est là, suspendue à ses lèvres quand la mâchoire affaissée il crie en silence. A chacune des déflagrations sèches les épaules tressaillent et les paumes des mains pressent un peu plus sur les pavillons.
- Oh ! Tu m'casses Pasiphaé ! Eructe-t-il enfin dans un accent guttural de la basse ville.
En cet instant plus rien autour de lui n'existe.

[Karasu]

Lorsque les prémices du feu d'artifice font leur apparition, le docteur Carlyle porte son regard en direction de la grand-salle.

« Quelle est la suite, Adjoint Gunnar ? »

Soren fait un signe de la main en direction du couloir.

-" Et bien docteur, à part si vous êtes un inconditionnel des feux d'artifice ou que vous ayez une tâche urgente à accomplir, nous pouvons nous rendre à la baie médicale pour que vous puissiez voir votre famille ".

Il attend la réponse de Keith tout en fixant la salle d'un air suspicieux.

[Athis]

Eirene, élégante et toujours maîtresse de ses émotions, se glisse discrètement aux côtés d'Osian et d'Athis alors que le feu d'artifice illumine la salle de ses éclats multicolores. Elle lève brièvement les yeux vers les fusées lumineuses éclatant dans le ciel avant de poser son regard, plus attentif, sur les nouvelles invitées.
« Magnifique, n’est-ce pas ? » murmure-t-elle avec un léger sourire, feignant d’être absorbée par le spectacle. Mais très vite, son ton devient plus sérieux et presque imperceptible aux oreilles indiscrètes.
« La Révérende Mère Beatra était informée de l’arrivée de ces femmes, mais elle a été... disons, surprise. » Eirene laisse un court silence s'installer, accentuant la tension. « Elles sont bien des Sœurs, c'est indéniable, mais elles ne se présentent sous le tutélaire d’aucune Révérende Mère. »
Son regard croise celui d’Osian et Athis, cherchant à évaluer leur réaction avant de continuer.
« Nous ne savons pas ce qu’elles viennent faire à cette réception, mais elles semblent ... répérer certaines choses. » conclut-elle, tout en gardant un sourire de circonstance pour les invités qui pourraient l’observer.

Toute tuméfiée qu'elle fut, Athis s'inclina avec un immense respect pour Eirene, qu'elle appréciait pour sa dévotion à la famille et ses troublantes disposition. Chacune de ses interventions était précieuse aux yeux de la jeune diplomate. Elle semblait, plus encore en cet instant, avide de comprendre ce qu'il se jouait et la moindre information était vitale. Aussi, quand Eirene évoqua un "repérage"; elle arqua un sourcil et répondit à son diapason, sur le ton de la confidence.
— Repérer ? Mais... se pourrait-il qu'il n'y ait un lien avec la tentative d'enlèvement que nous venons de déjouer, à votre avis ?
Le feu d'artifice continuait de tonner, mais il n'avait rien de magique ou de festif. C'était plutôt à l'image de l'orage qui se jouait dans cette funeste soirée.
— Magnifiques, elles le sont Eirene, mais elles pâliraient devant vous. Ajouta Athis avec une profonde gentillesse à son égard. Mais je n'aime guère l'émoi qu'elles jettent parmi les convives. Cette puissance, au coeur de toutes ces familles... c'est... flippant.
La jeune fille se renfrogna dans une expression aggravant ses traits jeunes.

[[LOUPS] Maître du Jeu]

Soudain, les éclats lumineux du feu d'artifice s'intensifient, leur cadence se détraquant. Les fusées partent à une vitesse anormale, zébrant le ciel nocturne dans une confusion d’explosions violentes et bruyantes. Les flammèches, d’abord scintillantes et festives, deviennent dangereusement agressives, se précipitant vers la baie vitrée dans une avalanche de lumières incontrôlables. Le vacarme est assourdissant, résonnant comme des coups de tonnerre, étouffant les murmures de la foule.

Les invités se regardent, les sourcils froncés, tentant de comprendre ce qu’il se passe. Les premiers murmures d'inquiétude flottent dans l’air, de plus en plus audibles. Quelques-uns esquissent un pas en arrière, incertains, scrutant le visage des autres pour chercher des signes de calme. Mais bientôt, l'évidence frappe : ce n'est pas du tout normal. Une nouvelle salve de fusées éclate, bien trop rapprochée, et cette fois, les flammèches viennent s’écraser contre la baie vitrée, traçant des lignes rougeoyantes contre le verre.

Les invités se retirent, d'abord lentement, mais l'inquiétude se transforme rapidement en panique. Les murmures surpris deviennent des cris d'angoisse, les plus nerveux s'élançant vers la sortie, bousculant leurs voisins. Le chaos prend de l’ampleur. Dorian, Althea, Nicolò et Lukas, visiblement aussi pris au dépourvu que les autres, tentent de garder leur calme, mais leurs visages trahissent leur panique. Ce déchaînement n’a rien à voir avec ce qui était prévu. Althea lance un regard effaré vers Dorian, cherchant des réponses, tandis que Lukas recule précipitamment, essayant de calmer ceux qui l'entourent. Nicolò tente de donner des ordres, sa voix noyée dans le tumulte.

La salle de réception, autrefois sereine, se transforme en un tourbillon de peur. Les convives se précipitent, tentant d’échapper au danger. La panique s’est emparée de la fête.