[CAMPAGNE] Viser haut - Une ascension infernale
Publié : 01 nov. 2024, 10:44
Une semaine plus tard…
Les protagonistes se retrouvent au spatioport, un matin baigné de lueurs dorées, pour l'embarquement. La navette d’apparence modeste les attend, déjà prête. Un homme encapuchonné, représentant de la Guilde, les mène jusqu'à bord en silence. Une fois à l'intérieur, la consigne est claire : ils ne peuvent quitter la navette pendant toute la durée du trajet. La sensation d’être ainsi confinés crée une tension particulière, les privant de tout repère temporel pendant la traversée hyperspatiale.
Et puis, soudain, presque brusquement, la navette amorce sa sortie de l’hyperespace, et Valoria apparaît devant eux, dévoilée à travers les vitres panoramiques.
Depuis l'orbite, Valoria est à la fois captivante et intimidante, une planète aux tons gris acier mêlés à des reflets de néons épars, comme des éclats de lumières artificielles perçant l’obscurité. Son atmosphère brille d’un léger halo bleuté, mais la surface est presque entièrement recouverte par un vaste réseau urbain, une interminable étendue de tours imposantes et de complexes industriels. Les districts civils et industriels s’entrelacent dans un chaos organisé de structures serrées, avec des autoroutes aériennes animées où des vaisseaux et véhicules s’enchevêtrent dans une valse ininterrompue de lumières en mouvement.
D’immenses dômes de transparacier protègent les quartiers les plus précieux, leurs surfaces réfléchissantes illuminées par les néons éparpillés qui délimitent les zones de commerce, les centres administratifs, et les quartiers de pouvoir de Valoria. À l’horizon planétaire, des lueurs de raffineries brûlent des vapeurs de gaz, donnant l’impression d’un monde à la fois en pleine activité et en perpétuelle suffocation sous le poids de ses propres ambitions.
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L’équipe militaire se prépare avec une intensité rigoureuse pour cette mission d’infiltration et d’assaut. Pendant la semaine précédant l’opération, chaque membre suit un programme rigoureux de briefing et d’entraînement, alliant stratégie et préparation physique. Le but est clair : gravir la tour de DeLisle, où la diplomate paranoïaque et dangereuse s’est retranchée dans son bureau fortifié, en neutralisant ses défenses étage par étage. Le plan détaille plusieurs voies d’approche pour les premiers étages, où la sécurité sera plus légère, mais à mesure qu’ils progresseront, ils feront face à des mercenaires mieux armés, à des portes verrouillées et à des dispositifs de surveillance avancés.
Chaque membre de l’équipe est équipé de tenues de combat à la fois renforcées et silencieuses, permettant à la fois la protection et la discrétion. Des armes modulaires adaptées à un assaut en milieu confiné leur sont distribuées, incluant des équipements de neutralisation non-létale. Pour la première partie de l’opération, ils prévoient d’utiliser des gadgets de sabotage, mini-explosifs et outils de verrouillage pour pénétrer les niveaux de sécurité sans déclencher d’alarme générale. Cependant, à partir des étages de la sécurité renforcée, ils prévoient des options de neutralisation rapide. Des grenades fumigènes, des armes incapacitantes et des grenades flash viennent compléter leur arsenal.
Le jour de la mission, l’équipe militaire se met en position discrètement, insérée à l’arrière de la tour par une équipe d’infiltration. Leur progression commence alors, dans l’ombre et en silence, alors qu’ils pénètrent les premiers niveaux sans alerter la garde.
Les protagonistes se retrouvent au spatioport, un matin baigné de lueurs dorées, pour l'embarquement. La navette d’apparence modeste les attend, déjà prête. Un homme encapuchonné, représentant de la Guilde, les mène jusqu'à bord en silence. Une fois à l'intérieur, la consigne est claire : ils ne peuvent quitter la navette pendant toute la durée du trajet. La sensation d’être ainsi confinés crée une tension particulière, les privant de tout repère temporel pendant la traversée hyperspatiale.
Et puis, soudain, presque brusquement, la navette amorce sa sortie de l’hyperespace, et Valoria apparaît devant eux, dévoilée à travers les vitres panoramiques.
Depuis l'orbite, Valoria est à la fois captivante et intimidante, une planète aux tons gris acier mêlés à des reflets de néons épars, comme des éclats de lumières artificielles perçant l’obscurité. Son atmosphère brille d’un léger halo bleuté, mais la surface est presque entièrement recouverte par un vaste réseau urbain, une interminable étendue de tours imposantes et de complexes industriels. Les districts civils et industriels s’entrelacent dans un chaos organisé de structures serrées, avec des autoroutes aériennes animées où des vaisseaux et véhicules s’enchevêtrent dans une valse ininterrompue de lumières en mouvement.
D’immenses dômes de transparacier protègent les quartiers les plus précieux, leurs surfaces réfléchissantes illuminées par les néons éparpillés qui délimitent les zones de commerce, les centres administratifs, et les quartiers de pouvoir de Valoria. À l’horizon planétaire, des lueurs de raffineries brûlent des vapeurs de gaz, donnant l’impression d’un monde à la fois en pleine activité et en perpétuelle suffocation sous le poids de ses propres ambitions.
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L’équipe militaire se prépare avec une intensité rigoureuse pour cette mission d’infiltration et d’assaut. Pendant la semaine précédant l’opération, chaque membre suit un programme rigoureux de briefing et d’entraînement, alliant stratégie et préparation physique. Le but est clair : gravir la tour de DeLisle, où la diplomate paranoïaque et dangereuse s’est retranchée dans son bureau fortifié, en neutralisant ses défenses étage par étage. Le plan détaille plusieurs voies d’approche pour les premiers étages, où la sécurité sera plus légère, mais à mesure qu’ils progresseront, ils feront face à des mercenaires mieux armés, à des portes verrouillées et à des dispositifs de surveillance avancés.
Chaque membre de l’équipe est équipé de tenues de combat à la fois renforcées et silencieuses, permettant à la fois la protection et la discrétion. Des armes modulaires adaptées à un assaut en milieu confiné leur sont distribuées, incluant des équipements de neutralisation non-létale. Pour la première partie de l’opération, ils prévoient d’utiliser des gadgets de sabotage, mini-explosifs et outils de verrouillage pour pénétrer les niveaux de sécurité sans déclencher d’alarme générale. Cependant, à partir des étages de la sécurité renforcée, ils prévoient des options de neutralisation rapide. Des grenades fumigènes, des armes incapacitantes et des grenades flash viennent compléter leur arsenal.
Le jour de la mission, l’équipe militaire se met en position discrètement, insérée à l’arrière de la tour par une équipe d’infiltration. Leur progression commence alors, dans l’ombre et en silence, alors qu’ils pénètrent les premiers niveaux sans alerter la garde.