Re: [CAMPAGNE] L’éclat des lames et l’ombre des intrigues
Publié : 15 sept. 2024, 17:03
Soren laisse glisser le corps inerte de l'assassin qui n'est pas près d'émerger dans un coin de la pièce tout en activant son communicateur.
-" Bandit numéro deux à terre. HS pour un moment. Planqué derrière le gros pot de fleurs à gauche de l'entrée. Je passe à la numéro trois. Lieutenant Gunnar. Terminé. ".
Il fixe cette fois son attention sur la deuxième de ses cibles dont il a suivi le déplacement le plus régulièrement possible pendant sa première intervention. Il remonte par l'extérieur de la pièce pour redescendre dans son dos en détaillant précisément la position de ses mains, l'élément le plus dangereux. Il guette l'instant opportun puis accélère pour venir la percuter dans le dos en lui saisissant les chevilles. Quand elle s'aplatit au sol, il pose son pied sur ses fesses et remonte les deux jambes à la verticale pour déboiter (ou fracturer suivant son degré de laxité) les fémurs. Puis il se met à genoux sur elle, les deux genoux sur ses coudes pour empêcher tout mouvement de ses bras.
-" Bandit numéro trois à terre. Je la maintiens sous contrôle. Je suis au milieu de la pièce de réception. Bandit abîmée, incapable de se mouvoir seule mais vivante. Pour encore un moment. Lieutenant Gunnar. Terminé. ".
Il s'adresse à la femme sous lui, passant le kinjal devant les yeux.
-" N'aggrave pas ta situation. Parce que si tu n'y mets pas de bonne volonté, je ne vais pas te tuer mais je vais te faire trèèès très mal. On se comprend ? ".
-" Bandit numéro deux à terre. HS pour un moment. Planqué derrière le gros pot de fleurs à gauche de l'entrée. Je passe à la numéro trois. Lieutenant Gunnar. Terminé. ".
Il fixe cette fois son attention sur la deuxième de ses cibles dont il a suivi le déplacement le plus régulièrement possible pendant sa première intervention. Il remonte par l'extérieur de la pièce pour redescendre dans son dos en détaillant précisément la position de ses mains, l'élément le plus dangereux. Il guette l'instant opportun puis accélère pour venir la percuter dans le dos en lui saisissant les chevilles. Quand elle s'aplatit au sol, il pose son pied sur ses fesses et remonte les deux jambes à la verticale pour déboiter (ou fracturer suivant son degré de laxité) les fémurs. Puis il se met à genoux sur elle, les deux genoux sur ses coudes pour empêcher tout mouvement de ses bras.
-" Bandit numéro trois à terre. Je la maintiens sous contrôle. Je suis au milieu de la pièce de réception. Bandit abîmée, incapable de se mouvoir seule mais vivante. Pour encore un moment. Lieutenant Gunnar. Terminé. ".
Il s'adresse à la femme sous lui, passant le kinjal devant les yeux.
-" N'aggrave pas ta situation. Parce que si tu n'y mets pas de bonne volonté, je ne vais pas te tuer mais je vais te faire trèèès très mal. On se comprend ? ".